Les pires vacances de ma vie
Je suis du genre poissarde quand je pars en vacances. Mais attention gentille poissarde. En général, il m'arrive toujours un truc à la con. Bah oui quoi comme ça j'ai
toujours quelque chose à raconter en rentrant.

Mes pires vacances, vous en connaissez déjà la fin sous la pluie dans les alpes. En voici le début:
La première semaine de vacances était un long périple en voiture: Le Mans> Laval> La corrèze> Foix>Toulon> les Alpes. Qui a dit que le chemin le plus court était toujours la ligne droite?
Nous sommes donc (mon mari de l'époque et moi) vaillamment partis dans notre clio neuve ( si, si c'est super essentiel pour la fin de savoir que notre clio était neuve), remplie de bagages (beaucoup moins essentiel de savoir qu'elle était remplie de bagages mais je précise quand même) en vacances (avec toutes ces parenthèses ma phrase ne ressemble plus à rien, je disais donc: nous sommes donc vaillamment partis dans notre clio neuve remplie de bagages en vacances).
Premier arrêt: Laval pour la remise en état de mon mari (très fragile du dos) par le seul osthéopathe efficace que nous ayons trouvé à l'époque (70km quand même fallait vraiment qu'il soit efficace).
Avec un dos remis à neuf, départ vers la Corrèze pour rejoindre le temps d'un week-end mes parents déjà sur place.
Sur l'autoroute, je prends le volant (bah oui je n'aime pas conduire sur les petites routes donc je ne conduit que sur les autoroutes et mon mari sur les nationales, c'est la répartition des tâches). La voiture de devant n'avançant pas assez vite à mon goût, j'accélère, déboîte, appuie à nouveau sur la pédale d'accélérateur et là... rien... oui rien... le moteur s'est coupé, plus de freins, plus d'accélérateur. Sur une double voie d'autoroute!!!!!!!! Je ne panique pas, surtout je ne panique pas....AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH!!!!!!!!!
L'automobiliste que j'étais en train de doubler s'est rendu compte que quelque chose clochait et a accéléré, ce qui m'a permis de me déporter sur la bande d'arrêt d'urgence sans provoquer d'accident. Ouuuuuufffffffffffff!!!!
Je tente de redémarrer, la voiture repart. J'accélère, seconde, 50 km/h la voiture s'arrête. On recommence 50km/h le moteur se coupe. Et bah c'est pas gagné, on a pas encore passé Limoges.
A moins de 50 km/h nous tentons de sortir de l'autoroute pour éviter un dépannage hors de prix. Vive les voitures neuves.
Nous avons finalement rejoins la Corrèze par les petites routes, la voiture calant dès que nous accélérions de trop. Le voyage a été long, très long.
Comme les garages ne rouvraient que le lundi nous avons quand même passé un agréable week-end à visiter la Corrèze et Collonges-la-rouge.
Le lundi matin: direction Sarlat et le garage. Dans notre malchance nous étions quand même un peu chanceux car des amis résidaient à Sarlat et nous avons donc rapidement passé la journée en attendant que le garagiste spécialisé dans notre marque (Renault pour ne pas la citer) découvre ce qui n'allait pas.
En début de soirée, il nous rend notre voiture. C'était tout simple en fait, ce qui n'allait pas avec la voiture c'était......................................rien. Bah oui rien. Il n'avait rien trouvé, l'avait testé sur les petites routes de campagne, l'avait forcé un peu mais non rien. Rien???? Elle allait très bien notre voiture.... Alors comment dire je ne sais pas si c'est la tête du mécano ou juste l'impression qu'il se foutait un peu de ma gueule qu'il remettait en doute notre parole. Enfin bon bref ça m'est resté un peu en travers pour le coup. Surtout que la fin de périple nous amenant dans les Alpes, je me voyais très mal caler sur les petites routes de montagnes.
Nous étions attendu à Foie dans la soirée, mais vu l'heure tardive à laquelle la garagiste nous avait rendu notre malade imaginaire, nous avons jugé plus sage de dormir chez nos amis à Sarlat.
Si j'avais su la suite, j'aurai repris la route fissa... mais je ne suis pas voyante.
La suite??????? au prochain épisode (comment ça: Nooooooonnnnnnnnn?)

Mes pires vacances, vous en connaissez déjà la fin sous la pluie dans les alpes. En voici le début:
La première semaine de vacances était un long périple en voiture: Le Mans> Laval> La corrèze> Foix>Toulon> les Alpes. Qui a dit que le chemin le plus court était toujours la ligne droite?
Nous sommes donc (mon mari de l'époque et moi) vaillamment partis dans notre clio neuve ( si, si c'est super essentiel pour la fin de savoir que notre clio était neuve), remplie de bagages (beaucoup moins essentiel de savoir qu'elle était remplie de bagages mais je précise quand même) en vacances (avec toutes ces parenthèses ma phrase ne ressemble plus à rien, je disais donc: nous sommes donc vaillamment partis dans notre clio neuve remplie de bagages en vacances).
Premier arrêt: Laval pour la remise en état de mon mari (très fragile du dos) par le seul osthéopathe efficace que nous ayons trouvé à l'époque (70km quand même fallait vraiment qu'il soit efficace).
Avec un dos remis à neuf, départ vers la Corrèze pour rejoindre le temps d'un week-end mes parents déjà sur place.
Sur l'autoroute, je prends le volant (bah oui je n'aime pas conduire sur les petites routes donc je ne conduit que sur les autoroutes et mon mari sur les nationales, c'est la répartition des tâches). La voiture de devant n'avançant pas assez vite à mon goût, j'accélère, déboîte, appuie à nouveau sur la pédale d'accélérateur et là... rien... oui rien... le moteur s'est coupé, plus de freins, plus d'accélérateur. Sur une double voie d'autoroute!!!!!!!! Je ne panique pas, surtout je ne panique pas....AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH!!!!!!!!!
L'automobiliste que j'étais en train de doubler s'est rendu compte que quelque chose clochait et a accéléré, ce qui m'a permis de me déporter sur la bande d'arrêt d'urgence sans provoquer d'accident. Ouuuuuufffffffffffff!!!!
Je tente de redémarrer, la voiture repart. J'accélère, seconde, 50 km/h la voiture s'arrête. On recommence 50km/h le moteur se coupe. Et bah c'est pas gagné, on a pas encore passé Limoges.
A moins de 50 km/h nous tentons de sortir de l'autoroute pour éviter un dépannage hors de prix. Vive les voitures neuves.
Nous avons finalement rejoins la Corrèze par les petites routes, la voiture calant dès que nous accélérions de trop. Le voyage a été long, très long.
Comme les garages ne rouvraient que le lundi nous avons quand même passé un agréable week-end à visiter la Corrèze et Collonges-la-rouge.
Le lundi matin: direction Sarlat et le garage. Dans notre malchance nous étions quand même un peu chanceux car des amis résidaient à Sarlat et nous avons donc rapidement passé la journée en attendant que le garagiste spécialisé dans notre marque (Renault pour ne pas la citer) découvre ce qui n'allait pas.
En début de soirée, il nous rend notre voiture. C'était tout simple en fait, ce qui n'allait pas avec la voiture c'était......................................rien. Bah oui rien. Il n'avait rien trouvé, l'avait testé sur les petites routes de campagne, l'avait forcé un peu mais non rien. Rien???? Elle allait très bien notre voiture.... Alors comment dire je ne sais pas si c'est la tête du mécano ou juste l'impression qu'il se foutait un peu de ma gueule qu'il remettait en doute notre parole. Enfin bon bref ça m'est resté un peu en travers pour le coup. Surtout que la fin de périple nous amenant dans les Alpes, je me voyais très mal caler sur les petites routes de montagnes.
Nous étions attendu à Foie dans la soirée, mais vu l'heure tardive à laquelle la garagiste nous avait rendu notre malade imaginaire, nous avons jugé plus sage de dormir chez nos amis à Sarlat.
Si j'avais su la suite, j'aurai repris la route fissa... mais je ne suis pas voyante.
La suite??????? au prochain épisode (comment ça: Nooooooonnnnnnnnn?)