Balade au clair de lune
N'importe quoi mon titre mais je trouvais ça romantique.
Hier soir je suis ressortie de chez moi vers 18h15. Bravant le froid et la tempête (comment ça vous avez vu les photos du ciel d'hier il faisait super beau?). Bon d'accord bravant le froid ça vous va? Je suis allée à la pharmacie à pied (oui bon c'est à même pas 500m) pour mon homme malade (comment je le fais bien la petite femme attentionnée qui n'hésite pas à retourner voir son pharmacien à pas d'heure pour les beaux yeux de son homme, oui ou peut être est ce juste pour éviter qu'il me refile sa crève).
Sur le chemin du retour comme la nuit était tombée (c'est l'avantage du changement d'heure, maintenant il fait nuit tôt le soir), je me suis cru actrice dans un film américain. Vous savez la scène où mélancolique (l'actrice parce que moi ça va), elle ère par les rues sans craindre le froid (bon là y a une différence avec moi j'avais froid), et elle regarde sans vraiment s'en rendre compte (mais elle s'en rend compte quand même parce que bon elle est mélancolique et ça ajouté à sa mélancolie) chez les gens. Bah hier j'ai fait pareil. La lumière étant allumée dans les maisons sur mon chemin et les volets pas encore fermés (bah oui on ne va pas fermer ses volets à 18h15 quand même), mon regard s'est posé, pas par curiosité malsaine, juste comme ça.
Dans la première maison j'ai souri en me disant que je n'étais pas la seule à avoir un peu de bazar chez moi.
Dans la deuxième maison j'ai souri en voyant deux enfants installés devant un bureau (vu que c'est les vacances je me suis imaginée qu'ils dessinaient en attendant le repas).
Dans la troisième maison j'ai souri attendri par le spectacle d'une dizaine de personne autour d'un PC portable, d'une jeune fille et d'une femme aux cheveux couleur de sel. Comme c'était majoritairement des filles je me suis dit qu'elles regardaient les photos du dernier né, du voyage de leur nouvel universitaire etc...
Dans la quatrième j'ai vu une femme âgée en train de tricoter amoureusement pour son petit fils (ça je le sais car j'en parlais avec la dame pas plus tard qu'avant hier).
Et après j'ai continué mon chemin jusqu'à chez moi en me remémorant ces images de douces quiétudes, ces instant figés qui ne représentent pas vraiment la réalité juste ce que je souhaite imaginer (qui me dit que les enfants n'effectuaient pas des lignes en punitions, ni que sur le PC les photos étaient celles du dernier calendrier des dieux du stade?).
Et puis je suis arrivé chez moi, dans la douce chaleur de ma maison, avec mon homme malade et mon fils chéri, et..................................
.................j'ai fermé mes volets.
Hier soir je suis ressortie de chez moi vers 18h15. Bravant le froid et la tempête (comment ça vous avez vu les photos du ciel d'hier il faisait super beau?). Bon d'accord bravant le froid ça vous va? Je suis allée à la pharmacie à pied (oui bon c'est à même pas 500m) pour mon homme malade (comment je le fais bien la petite femme attentionnée qui n'hésite pas à retourner voir son pharmacien à pas d'heure pour les beaux yeux de son homme, oui ou peut être est ce juste pour éviter qu'il me refile sa crève).
Sur le chemin du retour comme la nuit était tombée (c'est l'avantage du changement d'heure, maintenant il fait nuit tôt le soir), je me suis cru actrice dans un film américain. Vous savez la scène où mélancolique (l'actrice parce que moi ça va), elle ère par les rues sans craindre le froid (bon là y a une différence avec moi j'avais froid), et elle regarde sans vraiment s'en rendre compte (mais elle s'en rend compte quand même parce que bon elle est mélancolique et ça ajouté à sa mélancolie) chez les gens. Bah hier j'ai fait pareil. La lumière étant allumée dans les maisons sur mon chemin et les volets pas encore fermés (bah oui on ne va pas fermer ses volets à 18h15 quand même), mon regard s'est posé, pas par curiosité malsaine, juste comme ça.
Dans la première maison j'ai souri en me disant que je n'étais pas la seule à avoir un peu de bazar chez moi.
Dans la deuxième maison j'ai souri en voyant deux enfants installés devant un bureau (vu que c'est les vacances je me suis imaginée qu'ils dessinaient en attendant le repas).
Dans la troisième maison j'ai souri attendri par le spectacle d'une dizaine de personne autour d'un PC portable, d'une jeune fille et d'une femme aux cheveux couleur de sel. Comme c'était majoritairement des filles je me suis dit qu'elles regardaient les photos du dernier né, du voyage de leur nouvel universitaire etc...
Dans la quatrième j'ai vu une femme âgée en train de tricoter amoureusement pour son petit fils (ça je le sais car j'en parlais avec la dame pas plus tard qu'avant hier).
Et après j'ai continué mon chemin jusqu'à chez moi en me remémorant ces images de douces quiétudes, ces instant figés qui ne représentent pas vraiment la réalité juste ce que je souhaite imaginer (qui me dit que les enfants n'effectuaient pas des lignes en punitions, ni que sur le PC les photos étaient celles du dernier calendrier des dieux du stade?).
Et puis je suis arrivé chez moi, dans la douce chaleur de ma maison, avec mon homme malade et mon fils chéri, et..................................
.................j'ai fermé mes volets.